Le mot est lâché : « récession ». Le terme, qui était de retour depuis quelques semaines dans le vocabulaire des économistes, l’est désormais dans la bouche des banquiers centraux. Mercredi, puis encore jeudi, le président de la Réserve fédérale américaine (alimentados), Jerónimo Powellqui était auditionné par le Congrès, a admis que la remontée progresiva des taux des fondos federales, destinée à contrer l’inflation, est susceptible de provoquer une récession. Celle-ci se caracteriza por una técnica point de vue par le recul du PIB durant deux trimestres consécutifs. Désormais, le scénario du pire est envisagé alors que la Fed ensayait jusqu’à présent de temporiser et de ménager les marchés en parlant d’un atterrissage en douceur de l’économie. « Après Deutsche Bank, Nomura ou encore Goldman Sachs, c’est maintenant au tour de Citigroup de prévoir une récession », nota John Plassard chez Mirabaud Securities. De son côté, Pimco, l’un des principaux investisseurs obligataires du monde, juge le risque de récession « élevé » pour les deux ans à venir et évoque en outre celui d’« financieros de accidentes ».
Les derniers indicaurs d’activité accréditent le scénario d’un ralentissement. dans la zona euro, l’indice préliminaire PMI S&P Global composite (synthèse entre l’industrie et les services) est tombé à son plus bas niveau depuis 16 meses a 51,9 puntos en junio, contra 54,8 en mai. Il subit le « choc du coût de la vie et la dégradation de la confiance des entreprises et des consommateurs », indica Chris Williamson, el chef économiste de S&P Global. Pour Ricardo Amaro, economista senior chez Oxford Economics, « ces résultats marquent une rupture importante par rapport aux récentes conferencias des índices PMIqui avaient mis en évidence une Certaine résilience initiale face aux nombreux vents contraires qui assombrissaient les prospects économiques de la zone eurosouligne-t-il. La ventilación des chiffres indica un ralentissement généralisé. Le secteur manufacturier continue d’afficher une faiblesse particulière […tandis que] l’expansion des services a perdu de sa vitesse en juin. » auxiliar Etats-Unis, la croissance de l’activité du secteur privé a ralenti en juin et l’indice des nouvelles commandes s’est même contracté pour la première fois en près de deux ans.
Actions et matières estrenos bajo presión
Conséquence de ces craintes, les marchés d’actions européens ont continué leur glissade. Un París, le Ca 40 Una hésité antes de finir en baisse pour la douzième fois depuis le debut du mois, lâchant 0,56%, a 5.883,33 puntos, en un volumen de transacciones de 3,5 mil millones de euros. Outre-Atlantique, les grands indices résistent grâce aux valeurs technologiques. Néanmoins, le S&P 500, qui sert de référence aux gérants americains, s’apprête à boucler le plus mauvais premier semestre depuis la présidence de Richard Nixon, d’après les données compilées par Bloomberg. « Les indicaurs avancés de l’économie américaine se détériorent tous. Le moral des ménages a également atteint un record de faiblesse en réaction à une inflación au plus haut depuis 40 ans. Comme si ça n’était pas suffisant, le S&P 500 et le Nasdaq sont dans un «bear market» [marché baissier]. Depuis quand la Fed relève-t-elle ses taux si fortement dans un contexte si dégradé ? », s’inquiète Troy Ludtka, economista chez Natixis.
Dans le sillage des actions, les cours des matières premières refluent, à l’image du cuivre, tombé à son plus bas niveau depuis 16 meses a 8.564,5 dólares la tonelada. Les prix du brut sont aussi afectos. Le Brent abandonne 7% en cinq jours. La baja está acentuada por las operaciones de habilitación de portefeuilles auxquelles se livrent de nombreux fonds américains et européens à l’approche de la fin du semestre.
Valneva s’envole à la reprise
Sur le front des valeurs, le leader de la bioanalyse Eurofins Scientific está adjugé 4,2% a favor de un informe de opinión de Deutsche Bank, passé de «vendre» a «conserver». Le broker maintient son objectif de cours à 80 euros. Dans un autre secteur, il a initié la couverture de l’éditeur de jeux video Ubisoft (+1,81%) avec un conseil d’« achat » et un cours cible de 60 euros.
Atos un grimpé de 6,18%. Thales aurait le soutien du ministère de l’Economie et des Finances et de la direction générale de l’armement pour tenter de reprendre les activités de cybersécurité du groupe de services numériques, selon BFM Business. Enfin, suspendu depuis l’ouverture, la cotation du titre Valneva una repetición a las 16 h 30 con un envolée de 19,62%. La biotech franco-autrichienne reçu un avis positif du Comité des médicaments à use humain de l’Agence européenne des médicaments (EMA) pour une autorisation de mise sur le marché de son candidat-vaccin contre le Covid-19VLA2001, para una utilización en primovacunación chez les adultes (18 a 50 ans).